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Hello 👋
Bienvenue dans cette édition #78 des Persos de Maud ! Ça y est, on a encore dépassé un cap symbolique dans cette newsletter, car nous somme désormais 13,023 ! Que tu sois là depuis le début, ou que tu viennes de me découvrir, merci à tous de me lire ❤️.

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Au programme
Introduction
Substack
Text Blaze
Notion
Mes carnets
La suite Adobe
Les outils que je n’utilise pas
Introduction
On me demande très régulièrement si j’utilise des outils pour développer mon personal branding. Entre nous, je ne suis pas une geek d’outils, de hacks, chat GPT et tout ce qui rime avec productivité. En ce qui concerne les outils, je pense que le plus simple, le plus efficace, et qu’on a vite tendance à oublier que rien ne peut remplacer la créativité de notre cerveau — outil dont nous sommes tous dotés.
Néanmoins ! Comme il s’agit d’un sujet qui m’est régulièrement demandé, et que certains outils peuvent vraiment s’avérer utiles, j’ai décidé de vous partager mes 5 essentiels dans cette édition des Persos de Maud.
Substack
On me demande souvent ce que j’utilise pour envoyer mes newsletters. J’ai choisi Substack car c’est l’outil d’emailing le plus cohérent par rapport à ma stratégie.
Entre autre, voici les avantages :
C’est gratuit.
Les archives. Les newsletters sont envoyées par email, mais elles apparaissent aussi en ligne sous format de “blog”. Je les utilise donc beaucoup comme ressources pour mes coachings par exemple. Mais la vraie révolution, c’est que Substack s’intéresse de plus en plus au SEO des articles en ligne, et ceci peut devenir un vrai atout pour faire grossir l’audience.
Le système de recommandations. Substack est pensé pour les créateurs de contenu. Aussi, ils permettent aux créateurs de recommander d’autres newsletters assez facilement. Personnellement, j’ai gagné +3000 abonnés grâce à ce système.
Le gros inconvénient en revanche, c’est la pauvreté des données disponibles (par rapport à un Mailchimp par exemple), et l’impossibilité de faire des campagnes ciblées sur une partie de son audience avec des envois automatisés.
Bref, Substack est un outil de créateur, et non un outil de marketeur. Donc, la première question à se poser avant de choisir un outil pour sa newsletter, est la monétisation de cette dernière. Si l’idée est d’en faire une newsletter de vente (= petite audience mais beaucoup de conversions), alors mieux vaut partir sur un outil comme Convertkit ou Mailchimp. Si l’idée est d’en faire un media (= grosse audience et monétiser avec des sponsors, affiliation, ou abonnement payant), alors mieux vaut partir sur Substack.
Text Blaze
Text Blaze est probablement l’outil qui a le plus révolutionné ma vie. Quand on prend la parole sur Internet dans le cadre d’une stratégie d’inbound marketing, il se passe deux choses :
Les gens viennent à toi.
Trop de gens viennent à toi.
Aujourd’hui, entre mes amis, clients, prospects, partenaires, curieux, fans, journalistes et autres inclassables, je dirai qu’en moyenne, plus d’une trentaine de personnes me sollicitent par jour. Par semaine, ça représente plus de 200 sollicitations. Par mois, on arrive à presque 1000.
Au début, je tenais absolument à répondre personnellement à tous les messages. Puis, un jour, j’ai fait le bilan et je me suis rendue compte que je passais presque une journée entière par semaine à répondre à des messages, dont une infime partie m’apporte effectivement du business. Alors, il a fallu trouver une solution.
C’est là que Text Blaze intervient. Cette extension chrome permet de pré-enregistrer des messages type associé à des /motsclés. Aussi, quand je tappe /invit ou /lead dans chrome, j’ai automatiquement un message qui s’écrit. Cela me fait gagner facilement 5h dans ma semaine.
Au delà des messages types, je l’utilise pour tout ce que j’écris régulièrement :
Mes numéros de sécu, infos fiscales et compagnie.
Les liens pour des rendez-vous Calendly.
Les liens de mes réseaux.
Notion
Mon amour pour Notion ne cesse de grandir. Plus le temps passe, et plus je gère de choses grâce à cet outil. Entre autre, aujourd’hui, Notion me permet de suivre mes finances, partager mes notes et ressources avec mes coachés, et surtout, créer mon contenu.
Une des choses les plus importante quand on publie du contenu sur Internet, c’est d’avoir ce que j’appelle un incubateur à idées. Les idées viennent sous la douche, quand on marche, quand on discute avec un ami, quand on lit, bref, elles viennent tout le temps mais surtout quand on ne les attend pas. Il faut apprendre à les capter quand elles arrivent.
C’est pour ça qu’il faut se créer son incubateur. Certains préfèrent garder le papier, d’autres utilisent Apple Note, Evernote, un fichier Excel… Ce ne sont pas les outils qui manquent. Peu importe d’ailleurs, choisis celui qui te donne le moins de frictions à l’utilisation.
Pour moi, c’est Notion. J’aime avoir une vue “en cartelettes” pour mes idées, car cela respecte mieux ma pensée en arborescence, qu’une vue linéaire sur un document classique. J’aime aussi que l’application soit autant utilisable sur mon ordinateur que sur mon portable. Comme ça, quand j’ai une idée dans le métro, je peux aussi la noter.
Pour te donner une meilleure idée de mon utilisation, j’ai enregistré une vidéo dans laquelle je te montre mon espace Notion.
Mes carnets
J’ai une vraie passion pour les carnets. Au quotidien, c’est l’outil que j’utilise le plus souvent. Voici les diverses utilisations que j’en fais :
Mon bullet journal : Le carnet qui me suit tous les jours. C’est celui dans lequel je note mes tâches, mais aussi où je traque les gens que je vois, mon avancée en terme d’audience, la dernière fois que j’ai lavé la litière de lulu, ou encore mes fiertés de la veille et ce que j’en retiens.
Mon carnet de note : Un joyeux bordel. C’est un mélange entre un journal intime, un brainstorm géant d’idées pour mon business, de contenus, de brouillons de newsletters, et de listes fourre-tout pour me vider la tête. Même si je rédige la majorité de mes contenus sur l’ordinateur, de plus en plus souvent, je commence par les écrire sur papier. Pour certains, c’est une perte de temps, car, effectivement, il faut recopier. Mais paradoxalement, je remarque que je gagne du temps avec cette technique. Sur papier, je me sens plus libre et j’écris plus vite. C’est le meilleur moyen de sortir un premier brouillon rapidement. Puis, en recopiant, j’entame la phase d’édition en même temps.
Mon carnet de lecture : Celui-ci est nouveau. Je le teste depuis un mois et honnêtement, je ne sais pas comment je vivais avant. Désormais, quand je lis, je prends des notes dans ce carnet. Je ne recopie pas ce que je lis. J’écris ce que je pense de ce que je lis — et ça fait toute la différence. Depuis que je l’utilise, je sens que je vais plus vite dans ma création de contenu. Je puise dans ce carnet comme dans un coffre rempli de trésors oubliés.
La suite Adobe
J’ai appris à maîtriser les outils de la suite Adobe à 18 ans en école d’art pour la première fois, puis à 23 ans en école de communication. Clairement, ce ne sont pas les outils les plus simples pour démarrer, mais une fois qu’on a compris le système, on est le roi du pétrole.
Adobe, c’est la Ferrari des créatifs. Ce sont les meilleurs logiciels existants sur le marché pour la mise en page, édition, et création de visuels. Sur toute la suite, voici ceux que j’utilise le plus :
Lightroom : Pour retoucher mes photos. Le logiciel permet d’enregistrer les paramètres apportés à une photo pour les dupliquer sur une autre. De cette manière, je peux garder ma “patte” sur tous mes visuels.
Indesign : Lightroom permet de retoucher des photos, mais pas de les mettre en page dans un document. Pour tout ce qui va être bannière ou visuel dans le style, c’est Indesign que j’utilise.
Premiere Pro : Certes, je ne l’ai pas utilisé depuis longtemps, mais c’est tout de même mon outil pour monter des vidéos.
Même s’il existe de nombreuses vidéos et tutoriels sur Youtube pour apprendre à maîtriser ces outils, j’ai bien conscience que beaucoup d’entre vous n’auront pas l’envie ni le temps d’apprendre. Aussi, pour commencer, je recommande d’utiliser Canva.
Les outils que je n’utilise pas
Pour finir, comme on me questionne aussi très souvent sur certains outils en particulier, j’en profite pour clarifier mon point de vue sur ceux que je n’utilise pas :
Linkedin Premium : Ça ne sert à rien.
Chat GPT : Oui, ça m’arrive de temps en temps de lui demander de brainstormer sur des idées ou de me faire des variantes de phrases quand je m’ennuie. Mais sinon, non, il n’est pas encore aussi bon copywriter que moi pour l’instant.
Un outil pour planifier mon contenu à l’avance : Je préfère être présente au moins 20min au moment de publier pour répondre aux commentaires. Donc aucun intérêt de publier en avance.
Un outil pour mesurer mes performances de contenu : Je ne poste pas un milliard de contenus par mois. Mes yeux et ma mémoire suffisent pour voir et analyser ce qu’il se passe.
N’oublie pas que tout le temps que tu passes à te questionner sur les outils est du temps que tu ne passes pas à avancer. Alors, prends l’essentiel et avance. Ce n’est pas le bon vélo qui fait le bon cycliste.
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui ❤️.
Maud
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Mes 5 outils utiles pour mon personal branding.
Bien d'accord avec toi sur le temps à économiser à suivre ses metrics. Quand j'ai commencé à publier sur Linkedin (ça va faire 1 an), j'avais monté un tableau Excel pour suivre les résultats, le nombre de likes, de commentaires, l'heure à laquelle j'avais posté...
J'ai vite été débordée. Aujourd'hui je n'en suis plus qu'un, c'est mon nombre d'abonnés. Bien sûr je regarde la performance de chaque post mais sans l'inscrire nulle part.
Je pense qu'il me fallait passer par là au début pour m'approprier l'outil, et ensuite lâcher l'affaire.
Moi aussi ça me manque ;-)