Les bonnes idées font toujours peur.
#126 Ou comment trouver des idées différenciantes et remarquables.
Hello 👋
Bienvenue dans cette édition #126 des Persos de Maud ! On est désormais 18,814 dans cette newsletter (On approche dangereusement des 19k !). Que tu sois là depuis le début, ou que tu viennes de me découvrir, merci à tous de me lire ❤️.
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Au programme
Les idées ne viennent jamais quand on veut
Donner son avis est plus risqué, mais aussi plus gratifiant
Avoir le courage de ses idées
Un exercice de vulnérabilité
Prenez l’habitude de capturer vos idées
Pensée de la fin
→ Si jamais cet e-mail se fait couper, tu peux toujours lire la version en ligne par ici.
Les idées ne viennent jamais quand on veut
C’est la pluie qui m’a réveillée. Sans elle, je n’aurai pas remarqué que j’étais en train de contempler les pins à travers la fenêtre depuis 30 minutes, sans pour autant ajouter un mot de plus à cette pauvre tentative de newsletter sur l’écriture de taglines différenciantes.
Ce n’est pas la première fois que je me retrouve bloquée. Il y a deux ans, j’aurai persévéré et j’aurai fini par écrire une édition, certes très didactique, mais aussi, soyons honnêtes, un peu chiante. Aujourd’hui, j’ai appris à lâcher. Pas facile pour une perfectionniste. Mais j’ai fini par comprendre que pour écrire quelque chose de bien, il faut déjà que l’idée me séduise.
Alors que j’étais là, à contempler la pluie ruisseler sur la fenêtre, une autre idée nébuleuse a flotté vers moi. Cette idée, c’était justement de parler de la captation d’idées — de bonnes idées.
On me demande souvent où je trouve mes idées de contenus, et surtout de newsletters. Au début, je répondais ce que beaucoup de créateurs de contenus disent : “Je les trouve en écoutant ce que mes lecteurs me disent et posent comme questions”. Et c’était vrai. Ça a donné toutes les newsletters très didactiques du début.
C’est une manière assez facile d’avoir des idées. Mais peut-on les qualifier de bonnes idées ? Non pas que je pense que mes lecteurs soient incapables d’avoir de bonnes
idées de manière générale, mais disons que si le but est de les surprendre et de tenir un discours qui les fera réfléchir au-delà de leurs attentes, alors sont-ils les bonnes personnes à qui demander ? Ford disait : “Si j’avais demandé aux gens ce qu’ils voulaient, ils m’auraient répondu des chevaux plus rapides”.
Donner son avis est plus risqué, mais aussi plus gratifiant
Je le voyais bien. Mes newsletters étaient de très bon cours, mais elles ne surprenaient pas grand monde. Elles n’étaient pas remarquables, parce que pas très différenciantes.
Alors, l’année dernière, j’ai décidé de changer d’approche. J’avais envie d’écrire des contenus dignes d’un leader d’opinion comme Seth Godin ou Austin Kleon qui partagent sans cesse des idées novatrices.